Le rapport considère que le concept de l’économie verte recèle un potentiel de croissance durable et de création d’emplois et qu’il constitue l’amorce d’un nouveau modèle de développement économique et humain durable. Il évalue les expériences internationales de migration vers une économie verte et les enseignements qui peuvent en être tirés pour le Maroc. Il analyse le potentiel national en matière de création de richesses et d’emplois dans quatre secteurs clés de l’économie verte, au regard des ambitieux programmes lancés par le Maroc : les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, l’assainissement et l’épuration des rejets liquides et la gestion des déchets solides ménagers. Les investissements projetés dans ces secteurs dépassent 200 milliards de dirhams, avec un potentiel de création d’emplois identifié de plus de 90 000 postes à l’horizon 2020.
Le rapport considère que le concept de l’économie verte recèle un potentiel de croissance durable et de création d’emplois et qu’il constitue l’amorce d’un nouveau modèle de développement économique et humain durable. Il évalue les expériences internationales de migration vers une économie verte et les enseignements qui peuvent en être tirés pour le Maroc. Il analyse le potentiel national en matière de création de richesses et d’emplois dans quatre secteurs clés de l’économie verte, au regard des ambitieux programmes lancés par le Maroc : les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, l’assainissement et l’épuration des rejets liquides et la gestion des déchets solides ménagers. Les investissements projetés dans ces secteurs dépassent 200 milliards de dirhams, avec un potentiel de création d’emplois identifié de plus de 90 000 postes à l’horizon 2020.
La contribution du CESE à ce sujet s’inscrit dans la continuité de la dynamique environnementale enclenchée ces dernières années dans les différents secteurs économiques et des programmes d’opérationnalisation de la Charte nationale de l’environnement et du développement durable.
Ce passage à une économie verte constitue une occasion historique pour positionner le Maroc dans des secteurs industriels nouveaux, renforcer ainsi sa compétitivité par la création de champions nationaux à l’export dans ces filières technologiques et contribuer à la réduction des externalités environnementales et sociales, notamment dans certaines régions défavorisées.
Dans son rapport, le CESE a identifié les contraintes qui freinent la transition vers une économie verte et a recommandé des mesures opérationnelles pour y remédier classées selon six volets.
Enfin, le rapport formule des recommandations ciblées et adaptées à chaque secteur de l’économie verte, notamment les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, l’assainissement et l’épuration des rejets liquides et la gestion des déchets solides.